Mazi Market : le panier du Nouvel An

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Une semaine plus tard, il n’y a plus tout à fait les mêmes produits, ce qui fait que certains projets tombent à l’eau et d’autres voient le jour, sous le coup de l’inspiration devant les rayons.

Ainsi, comme j’avais vu des avocats le 24, je m’étais dit que je pouvais les faire en verrine avec les crevettes. Sauf que cette fois-ci, avocats nîne. Je vois des champignons de Paris, et je me dis que je vais les faire en salade (crus bien sûr) avec les crevettes sautées, sur un lit de laitue et quelques fraises, avec une sauce grenade. Car oui, luxe pas écologique du tout, j’ai pris une barquette de fraises. En bon état et parfumées, bien mieux que les fraises sans gout et souvent déjà moisies que l’on trouve trop souvent en France.

Pour le poisson, je pensais, cette fois, prendre les truites entières (tant pis pour les arêtes) et les faire pocher dans une sauce au vin rouge. En fait, il ne reste que les filets. Mais la sauce au vin rouge tient toujours, ce qui me permettra de boire le Merlot moldave avec. En légumes, une jardinière surgelée.

Pris deux laitues, et du fromage qui a un vague aspect de moisi bleu (et j’espère que ç’en est, du vrai moisi plutôt que des herbes). Cette fois, choisi du vinaigre de raisin, ça changera de la pomme.

Pour le dessert, j’ai opté pour une glace de Marash bicolore, à la pistache d’Antep. Mais j’en ferai avec une coupe de fruits à la vodka orange, fraises + grenades + figues au sirop.

En plus du Merlot, j’ai un chardonnay français pas mauvais, mais de 2011, qui commence donc à perdre en gout. Par contre, parfait pour un vin chaud au gingembre et à la vodka orange, avec sucre vanillé.

Pour le brunch flemmard du lendemain, une grande pizza Ristorante. Et le soir, pour une soupe roborative, ce que j’ai cru être un sac d’oseille surgelée mais qui est en fait de la moloukhyya, que je ne connais pas du tout. Si je veux y mettre du bœuf, il me reste même des morceaux de daube tendre, que jusqu’ici seule Pirouette a dévorés (elle raffole de la daube).

Naturellement si panne de courant, le plat truite-jardinière finira en plat froid. Et comme je n’ai pas de fouet ni de batteur électrique, je vais m’amuser pour la mayonnaise (ou l’aïoli puisque j’ai de l’ail en saumure et de l’huile d’olive).

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